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Fizahan-teny

Ohabolana : mangala-dia

Ohabolana 1Izay mandeha tsy miera no mangala-dia. [2.558 #1505]

Ohabolana 2Raharahan' i Mantasoa, ka ny miera maty venty, ary ny mandeha fotsiny mandoa loso. [2.415 #393]
Raharahan' i Mantasoa, mandeha tsy miera, maty loso ; mandeha miera, maty venty. [2.415 #393]
Raharahan' Imantasoa: ny miera mandoa venty, ny mandeha fotsiny maty loso. [2.165]
Raharahan' Imantasoa : ny miera maty venty, ny mandeha fotsiny maty loso. [2.558 #3646]
Raharahan' i Mantasoa: ny miera maty venty, ny mangala-dia maty loso; ny mitoetra lany lamba aman-tsalaka. [2.415 #393, 2.653, 1.1]
Dikanteny frantsayCorvée de Mantasoa : ceux qui s' absentent avec permission sont à l' amende de seize sous, et ceux qui s' absentent sans permission sont à l' amende d' une demi-piastre. [2.415 #393]
Le travail à Mantasoa: ceux qui demandent une permission payent quatre-vingts centimes; et ceux qui s' absentent sans permission payent deux francs cinquante. [2.165]
Mantasoa : ceux qui s' absentent avec permission sont à l' amende de seize sous ; ceux qui s' absentent sans permission sont à l' amende d' une demi-piastre ; ceux qui sont présents usent au travail leur lamba et jusqu' au salaka qui entoure leurs reins. [2.415]
Fanazavana frantsayAu temps de Ranavalona 1ère il existait à Mantasoa (à 60 km. à l' est de Tananarive) de grands ateliers établis par J. Laborde pour le compte du gouvernement malgache. Des centaines d' ouvriers (jusqu' à 1500, dit-on), y fondaient des canons, y fabriquaient des poteries, etc. Des chrétiens persécutés y étaient aussi employés et ce n' est peut-être qu' à ces derniers que s' appliquaient les dures mesures qui ont passé en proverbe. [2.165]
La corvée dans les ateliers royaux de Mantasoa était particulièrement pénible ; le proverbe se disait de toute corvée dure et pénible : le français Laborde avait construit à Mantasoa à 40 km de Tananarive, des ateliers royaux où l'on faisait des armes. [2.415 #393]

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